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Une histoire de famille

6 enfants et une multitude d’écureuils.
Voici la tribu qui a vu le jour grâce à Camille, fondatrice de Risu-Risu et heureuse maman d’une belle famille nombreuse.

Risu signifie écureuil en japonais, un petit animal sauvage et mignon, qui émerveille les enfants et qui est une inspiration pour la gestion de ses ressources. On lit « risou », comme une risette, le babillage d’un bébé, le gazou-gazou qu’on lui dit en le chatouillant. Risu risu, c’est un petit moment doux qu’on passe avec son enfant, un moment d’amour et de soin, un instant précieux que l’on partage avec son bébé, un câlin qui protège, des paroles réconfortantes, l’envie de faire au mieux et d’offrir le meilleur pour lui.

C’est dans cet esprit que Camille a développé en 2014 risu risu, à la naissance de son dernier enfant. Le marché proposait soit des vêtements très jolis mais bourrés de produits chimiques qu’il était impensable pour elle de mettre en contact avec la peau de son nouveau-né, soit quelques pièces saines mais qui frustraient son envie de jolis vêtements.

Risu risu a donc été créé pour enfin allier l’écologie et le chic pour ses enfants, les vôtres, ceux que vous chérissez, avec tout l’amour d’une maman.
Parce qu’il n’y a rien de mieux pour un enfant. 

Les Engagements de Risu-Risu

  • Des matières premières réellement bio : pour Camille, traiter des cotons bio avec des teintures chimiques est une hérésie, et malheureusement il est encore trop difficile pour le consommateur de s’y retrouver entre les différents labels présentés. Risu risu s’engage donc à proposer du 100% bio que ce soit pour les tissus que pour les traitements
  • Une production raisonnée : la marque ne travaille qu’avec des petits ateliers familiaux situés en France et en Espagne afin de favoriser l’emploi local, maîtriser une haute qualité de fabrication et limiter la logistique. De plus, risu risu est dans une démarche d’upcycling en utilisant même les chutes, en lançant par exemple sa nouvelle gamme de masques en tissus.

  • Le partage ancré dans l’ADN de la marque : depuis sa création la marque soigne les enfants en leur proposant des produits respectant leur peau, mais également en soutenant des associations régulièrement et en faisant des dons pour des œuvres humanitaires 

Quels sont vos projets ?

Nous avons décidé de nous lancer dans quelques articles pour femme. Nous allons lancer très bientôt une chemise de nuit et des sous-vêtements dans une gamme mère-fille.

Nous souhaitons également élargir nos canaux de distribution et intégrer des grandes enseignes françaises et continuer à développer le marché coréen qui est attiré par nos produits.

Pourquoi avoir rejoint les Bienfaiteurs ?

Les ventes privées sont dans l’air du temps et c’est devenu un canal de vente très en vogue aujourd’hui. Malheureusement, ce modèle a pour effet d’oppresser les marques, de les contraindre à s’aligner dans un système qui n’est pas très équitable pour elles.
Ce que j’aime chez les Bienfaiteurs, c’est la bienveillance qui émane, aussi bien pour les marques, que pour le consommateur, et à plus grande échelle pour la société à travers les dons.
Je suis ravie de pouvoir participer à une opération de la sorte permettant de soutenir un association comme la Source, qui aide des enfants dans le besoin.

Quelles marques challengeriez-vous pour rejoindre les Bienfaiteurs ?

Canopea qui fait des jolis maillots de bain à base de filets de pêche recyclés, fabriqués au Portugal.
Veja qui ont été les premiers à faire des baskets éthiques. Ils ont dû créer le marché et définir leur propre niveau d’acceptabilité en se basant sur leur morale et leur savoir-faire. Je respecte beaucoup leur travail.